contre toute attente

Écouter sur
Catégorie

Documentaire

Équipe de création

Réalisation, scénarisation, narration, recherche, prise de son et montage : Gabrielle Thouin
Conception sonore, conception musicale et mixage : Simon Coovi-Sirois
Script-édition : Julien Morissette
Consultance à la production : Gina Desjardins
Technique : Jean-Sébastien Côté

Partenaires

Une coproduction de Gabrielle Thouin et de Transistor Média.

Ce projet a reçu un appui financier dans le cadre d’une entente de partenariat entre le Conseil des arts et des lettres du Québec et la Ville de Mirabel.

La création de contre toute attente est rendue possible grâce au précieux soutien de nos partenaires, Floravi, Mme L’Ovary et la Ville de Mirabel.

Pour retrouver les produits de Floravi : https://www.floravi.com/
Et ceux de Mme L’Ovary : https://mmelovary.com/

contre toute attente

Si on se représente «deux personnes qui font l’amour», quelle est l’image qui nous vient en tête ? Bon nombre de personnes qui accepteront de verbaliser leur pensée décriront une scène où un homme et une femme pratiquent une activité sexuelle précise : la pénétration vaginale par le pénis.

Dans notre imaginaire collectif, ces termes très doux et poétiques sont ramenés à cette pratique sexuelle. Gabrielle se questionne : pourquoi accorde-t-on autant d’importance à la pénétration dans les relations sexuelles? Quels fils invisibles cette représentation de la sexualité tisse-t-elle dans nos esprits? Et que font ces personnes qui ne peuvent, ne veulent pas «faire l’amour»… comme elle?

En la suivant dans son espoir de trouver des éléments de réponses à ces questions, contre toute attente est une brèche entre les territoires des codes de conduite et ceux où l’on laisse place aux sons de nos échos.

Dans les médias

Crédit photo : Élizabeth Huppé

Crédit photo : Élizabeth Huppé

Crédit photo : Élizabeth Huppé

Crédit photo : Élizabeth Huppé

« Mais s’il n’y avait pas une si grande pression dans la société à la pénétration, ça aurait été vraiment moins tough de naviguer à travers cette douleur-là. Je me serais sentie moins invalidée, moins anormale… »

Gabrielle Thouin, La Presse, 26 novembre 2024